Promenade
Promenade
Elle est bien souvent
Seule se promenant.
Un regard de tristesse sur ces pensés absurdes !
Au son des oiseaux
Aux chants mélodieux !
Elle avance et songe à la vie sur terre
Et ne s'aperçoit pas
Où ces pas la mènent !
La forêt n'est plus là, le paysage a changé.
Devant ces yeux du sable fin, doré...
Et une immensité de bleu !
L'eau salée, est bien là, face à elle,
Où le ciel azur ce mélange
Au bleu turquoise du large.
Comme le gris-terre des rochers, au vert
Profond, de quelques arbres.
Dans la falaise !
Le sable que le soleil rougi, brûle ces pieds,
Comme les entrailles
Du vert de l'herbe !
L'été le soleil fait rage, flamboyant tout sur son passage,
Comme le feu ravage
Les arbres, la forêt !
La couleur se terni, devenant jaune-brun,
Comme les feuilles auburn,
Qui tombent en automne !
Enlevant ces souliers elle marche sous l'eau
Bleuté, aux éclats turquoise !
Elle marche et se glisse
Dans cette eau profonde qui le soleil éclaircit,
Cherchant là, intimement,
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